samedi 20 septembre 2014

Réunion du jour....

l'atelier des enfants de mon village se met en place .....petite réunion de prise de contact avec les parents ! ce jour......à suivre....

Gravir la colline....



Ça me fait quelque chose quand les jours s'allongent, que la lumière grandit et que le soleil se couche de plus en plus à l'ouest, au-dessus des collines, comme s'il allait faire le tour complet de l'horizon.

Printemps et autres saisons, J.M.G Le Clézio
Citations colline - Citation et proverbe sur colline


mercredi 17 septembre 2014

dimanche 14 septembre 2014

D'ici ....& là.....

 

 

 

Théodore de Banville, poète de la forme pure

Précurseur du parnasse, ami de Victor Hugo, Charles Baudelaire et Théophile Gautier, Théodore de Banville a été l’un des maîtres et modèles de Mallarmé, Verlaine et Rimbaud. Auvergnat, il est né à Moulins, où un lycée porte son nom.
Poète et dramaturge, Théodore de Banville est parfois considéré comme l’un des premiers parnassiens en même temps que le dernier des romantiques. Né le 14 mars 1823 à Moulins, il rejoint Paris dès son enfance, en 1830, pour étudier au lycée Condorcet. Encouragé par Victor Hugo et Théophile Gautier, salué dès sa première publication par Charles Baudelaire (le recueil de poèmes « Les Cariatides », alors qu’il a tout juste 19 ans), Théodore de Banville se consacra essentiellement à la poésie, recherchant sans relâche la pureté formelle et la beauté de la rime, mais fut aussi critique, chroniqueur littéraire, dramaturge (pièces de théâtre écrites en vers ou en prose) et écrivit aussi ses souvenirs et des contes.


Âgé de 16 ans, Arthur Rimbaud, initié à la poésie de son temps par la revue collective le Parnasse contemporain, lui envoie une lettre (datée du 24 mai 1870), en y joignant plusieurs poèmes (Ophélie, Sensation, Soleil et chair), dans l’espoir d'obtenir son appui auprès de l’éditeur Alphonse Lemerre. Banville répondit à Rimbaud, mais les poèmes ne sont pas publiés.
En novembre 1871, Théodore de Banville héberge Arthur Rimbaud, mais dès le mois de mai, ce dernier dans ses lettres dites « du voyant » exprime sa différence et, en août 1871, dans son poème parodique, Ce qu'on dit au poète à propos de fleurs, exprime une critique ouverte de la poétique de Banville.

  courrier de Rimbaud à Banville ...
 
       Monsieur et cher Maître,
    Vous rappelez-vous avoir reçu de province, en juin 1870, cent ou cent cinquante hexamètres mythologiques intitulés Credo in unam ? Vous fûtes assez bon pour répondre !
   C'est le même imbécile qui vous envoie les vers ci-dessus, signés Alcide Bava. Pardon.
   J'ai dix huit ans. J'aimerai toujours les vers de Banville.
   L'an passé je n'avais que dix-sept ans !
   Ai-je progressé ?
ALCIDE BAVA.
A. R.
Mon adresse :
M. Charles Bretagne,
Avenue de Mézières, à Charleville,
pour
A. RIMBAUD.

dimanche 7 septembre 2014

M'an...

Bon pied! bon oeil    88 ans!
et des fois en princesse...
petit WE au bord de la méditerranée....
histoire de charger les batteries 
pour l'hiver qui approche !


vendredi 5 septembre 2014

de la Sérénissime....

 


Un verre de Venise est un objet en verre fait à Venise en Italie, historiquement sur l'île de Murano. Il doit sa réputation mondiale à sa coloration et à son élaboration particulière.
Bon nombre des caractéristiques importantes des objets en verre de Venise avaient été mis au point au XIIIe siècle. Vers la fin de ce siècle, le centre de l'industrie du verre de Venise s'installe à Murano.
Les artisans byzantins jouent un rôle important dans le développement du verre de Venise. Lorsque Constantinople est saccagée par la quatrième croisade en 1204, certains artisans en fuite émigrent à Venise. Ce scénario se répète en 1453 lors de la prise de Constantinople par les Ottomans, augmentant d'autant le nombre d'artisans verriers. Les véniciens maîtrisaient alors de mieux en mieux les techniques de transparence, de coloration et de décoration du verre.




La réputation de Murano comme centre de la verrerie est née lors de la République de Venise. Craignant le feu et la destruction de la ville, dont la plupart des bâtiments étaient en bois, la république ordonne la destruction de toutes les fonderies de la ville en 1291. Cet ordre est assorti d'encouragements pour construire les fonderies hors de la ville, et, à la fin du XIIIe siècle, l'industrie verrière se développe sur l'île de Murano.
Rapidement les verriers furent les personnages les plus influents de l'île. Vers le XIVe siècle, les verriers sont autorisés à porter l'épée, jouissent de l'immunité de poursuites par l'État de Venise et prennent épouses dans les familles les plus riches de Venise. La contrepartie est importante : ils ne sont pas autorisés à quitter la République. Toutefois, de nombreux artisans prennent ce risque et construisent des fours à verre dans les villes environnantes, puis dans toute l'Europe, jusqu'en Angleterre et aux Pays-Bas.
Les verriers de Murano maintiennent leur monopole sur la fabrication du verre de qualité pendant des siècles, développement et peaufinent de nombreuses technologies, telles que les cristaux, l'émail, les parures au fil d'or, les verres multicolores (millefiori), le lait verre (lattimo), et l'imitation de pierres précieuses en verre. Aujourd'hui, les artisans de Murano utilisent toujours ces techniques séculaires.



Aujourd'hui, Murano possède son Musée du Verre qui est installé dans le Palazzo Giustiniani. Il propose des expositions sur l'histoire de la verrerie et des échantillons de verre depuis l'époque égyptienne jusqu'à nos jour
 Boule d'escalier en verre soufflé façon Murano
 Boules d'escalier

La renommée de Murano est internationale depuis 800 ans, car elle s’est rendue maîtresse de l’Art du Verre qu’elle détient encore, quoique banalisé, mais toujours prospère.
L’art du verre fut pratiqué, en Europe, dès l’époque romaine. Il s’est sans doute développé à Venise vers le 10e siècle et a pris rapidement une importance, malgré le danger que représentait le fonctionnement des fours (fornace) dans une ville au tissu urbain très dense.
De tous les incendies qui ravagèrent Venise, bon nombre furent attribués aux fournaises.
C’est en 1291 que le gouvernement du Doge décida de déplacer définitivement les fours à l’île proche de Murano.

jeudi 4 septembre 2014

mercredi 3 septembre 2014