samedi 31 janvier 2015

L'Art presque perdu de ne rien faire ....


C'est un goût étrange que celui des mots, pas si différent du goût d'un fruit mûr, du poisson frais ou même d'un baiser sous la pluie.

Dany Laferrière

 La pluie m'insupporte ! et pourtant , je sais qu'elle est utile ....( un mot banni de mon vocabulaire depuis l'âge de 8 ans....)
-elle me fait friser....
-elle colle
-elle salit ( j'ai 2 chiens dont 1 bébé et du carrelage blanc!)création/animation d'Alice : ménageje ne mets rien sur ma tête = mes cheveux trempent dans la boue....
- elle fait gondoler le papier.....


 

M. Caillebotte à Paris...




jeudi 29 janvier 2015

La princesse au petit pois.....

 Elle vient d'arriver, 2 mois et des dents pointues comme des aiguilles.......
 Le bon gros vieux chien (13 ans)...obligé de partager sa panière  ; elle est déjà trop petite pour lui, vu ses grandes pattes....pas facile d'en trouver une  à sa taille ! chien 117
Bon, il craque, elle est si mignonne....un  border collie ( un chien de berger tenace, travailleur, très docile, concentré, ardent, intelligent, très craintif, mais très peu agressif, proche de son maître, c'est un bon gardien d'appartement ou de maison). Sa sélection, basée sur le travail, en fait un animal dynamique, actif et demandeur d'activités. Presque totalement sélectionné pour le travail sur troupeau, le border collie présente une particularité bien spécifique : il a un besoin irrépressible, presque obsessionnel, de rassembler, de rabattre tout ce qui semble se disperser ou fuir. Il peut cependant être un parfait compagnon, pour peu qu'on lui propose suffisamment d'activités.chien 127

samedi 24 janvier 2015

Le hérisson, l'oiseau, et les étoiles

Activités pour lundi, avec les touts petits 
hérissons ; nez =   grain de café,   yeux = grains de poivre


...des étoiles ...
et même une mangeoire....je m'amuse, je m'amuse...

dimanche 18 janvier 2015

La petite maison dans la prairie...

un peu de douceur dans ce monde de brutes.....
je suis restée absente ....
un long moment complètement abasourdie par les évènements...voici ma tête !
et ce n'est pas la pire....
bon....je  dois bosser...

dimanche 4 janvier 2015

Pourquoi a-t-on le vertige ?

quand j'étais petite , je n'avais pas du tout le vertige......mais aujourd'hui.......un peu! 
pourquoi?


Quand on se trouve très haut comme sur une falaise ou sur un balcon, on a le vertige, on a l'impression de tomber, de perdre son équilibre !
Pourquoi ? Tout d'abord parce qu'on a peur du vide, certaines personnes n'ont pas le vertige.

Aussi parce que les organes responsables de l'équilibre sont les oreilles.
L'intérieur de chaque oreille renferme trois minuscules tubes en demi-cercle remplis de liquide tapissés de cils microscopiques.
Chaque fois que nous bougeons, le liquide oscille, bouge, et les cils ondulent.
Le cerveau reçoit de ces cils des messages qu'il utilise pour le contrôle de l'équilibre.

Mais dès qu'on a peur du vide, le cerveau reçoit des messages différents, d'un côté les oreilles lui disent qu'on est en équilibre et de l'autre côté la peur du vide envoie d'autres messages au cerveau.
Ces messages, ces informations contradictoires sont difficiles à interpréter par le cerveau.
Ce sont ces messages, ces informations différentes qui provoquent le vertige !

 souris 43

La reine du jour ...le « Saturnalicius princeps »

c'est M'an!






 
Le Gâteau des Rois, par Jean-Baptiste Greuze, 1774 (musée Fabre).

Pourquoi cette galette ?

La galette des Rois est un gâteau célébrant l’Épiphanie et traditionnellement vendu et consommé quelques jours avant et après cette date, voire jusqu'à la fin de carnaval dans les départements français d'outre-mer.
La galette des Rois, dans le nord de la France, est originellement une galette à base de pâte feuilletée, simplement dorée au four, qu’on mange accompagnée de confitures ; elle peut également être fourrée avec diverses préparations : frangipane, fruits, crèmes, chocolat, à la compote de pommes… Dans le Sud de la France, le gâteau des Rois est une brioche aux fruits confits en forme de couronne parfumée à la fleur d'oranger, est préférée à la galette en pâte feuilletée, dite "parisienne". Mais on trouve aussi des galettes à base de pâte sablée dans l’ouest.

Lors des Saturnales (fêtes romaines sur la fin du mois de décembre et au commencement de janvier), les Romains désignaient un esclave comme « roi d’un jour ». Les Saturnales étaient en effet une fête d’inversion des rôles afin de déjouer les jours néfastes de Saturne, divinité chtonienne. Au cours du banquet (au début ou à la fin des Saturnales, selon les différentes époques de la Rome antique) au sein de chaque grande familia, les Romains utilisaient la fève d’un gâteau comme « bulletin de vote » pour élire le « Saturnalicius princeps » (Maître des Saturnales ou Roi du désordre). Cela permettait de resserrer les affections domestiques et donnait au « roi d’un jour » le pouvoir d’exaucer tous ses désirs pendant la journée (comme donner des ordres à son maître) avant d’être mis à mort, ou plus probablement de retourner à sa vie servile à l’issue de celle-ci. Pour assurer une distribution aléatoire des parts de galette, il était de coutume que le plus jeune se place sous la table et nomme le bénéficiaire de la part qui était désignée par la personne chargée du service (d’où l’usage toujours vivant de « tirer les rois »). Tacite écrit que, dans les fêtes consacrées à Saturne, il était d’usage de tirer au sort la royauté3. Étienne Pasquier a décrit dans ses Recherches de la France4 les cérémonies qui s’observaient en cette occasion : « Le gâteau, coupé en autant de parts qu’il y a de conviés, on met un petit enfant sous la table, lequel le maitre interroge sous le nom de Phébé (Phœbus ou Apollon), comme si ce fût un qui, en l’innocence de son âge, représentât un oracle d’Apollon. À cet interrogatoire, l’enfant répond d’un mot latin domine (seigneur, maître). Sur cela, le maître l’adjure de dire à qui il distribuera la portion du gâteau qu’il tient en sa main, l’enfant le nomme ainsi qu’il lui tombe en la pensée, sans acception de la dignité des personnes, jusqu’à ce que la part soit donnée où est la fève ; celui qui l’a est réputé roi de la compagnie encore qu’il soit moindre en autorité. Et, ce fait, chacun se déborde à boire, manger et danser. »
C’est cet usage qui est passé jusqu’à nous. On en retrouve la trace non seulement dans le rituel de la galette des Rois, mais aussi dans la fête des Fous médiévale et des « rois et reines » des carnavals actuels.