pas mal de décibels!
samedi 31 mai 2014
En musique...
jeudi 29 mai 2014
Encore dans la lune....
Ce que j'ai pu entendre ça à l'école !!!
Santoka Taneda
mercredi 28 mai 2014
De dire la vérité ou " les fleurs du mal ?". Portraits-souvenirs (1935)
Le poète est exact. La poésie est exactitude. Depuis Baudelaire, le public a, peu à peu, compris que la poésie était un des moyens les plus insolents de dire la vérité.
Portraits-souvenirs (1935)
Citations de Jean Cocteau
Références de Jean Cocteau
Read more at http://www.dicocitations.com/auteur/1058/Jean_Cocteau.php#D32TPQ3gr8MQdcaI.99
Portraits-souvenirs (1935)
Citations de Jean Cocteau
Références de Jean Cocteau
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Le poète est exact. La poésie est exactitude. Depuis Baudelaire, le public a, peu à peu, compris que la poésie était un des moyens les plus insolents de dire la vérité.
Portraits-souvenirs (1935)
Citations de Jean Cocteau
Références de Jean Cocteau
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Portraits-souvenirs (1935)
Citations de Jean Cocteau
Références de Jean Cocteau
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Le poète est exact. La poésie est exactitude. Depuis Baudelaire, le public a, peu à peu, compris que la poésie était un des moyens les plus insolents de dire la vérité.
Portraits-souvenirs (1935)
Citations de Jean Cocteau
Références de Jean Cocteau
Read more at http://www.dicocitations.com/auteur/1058/Jean_Cocteau.php#D32TPQ3gr8MQdcaI.99
Portraits-souvenirs (1935)
Citations de Jean Cocteau
Références de Jean Cocteau
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LA Poésie est exactitude
"Depuis Baudelaire, le public a, peu à peu, compris que la poésie
était un des moyens les plus insolents de dire la vérité"
Portraits -souvenirs Jean Cocteau
j'ai toujours aimé l'optimisme de Baudelaire et son air "avenant" !
-Elle pleure, insensé, parce qu'elle a vécu!
Et parce qu'elle vit! Mais ce qu'elle déplore
Surtout, ce qui la fait frémir jusqu'aux genoux,
C'est que demain, hélas! il faudra vivre encore!
Demain, après-demain et toujours! - comme nous!
Les Fleurs du mal (1857), Charles Baudelaire,Et parce qu'elle vit! Mais ce qu'elle déplore
Surtout, ce qui la fait frémir jusqu'aux genoux,
C'est que demain, hélas! il faudra vivre encore!
Demain, après-demain et toujours! - comme nous!
jeudi 22 mai 2014
dimanche 18 mai 2014
Au jardin....
Le marronnier....dommage que les fruits ne soient pas comestibles!
Mon potager...interdit de rigoler! oui ...il est tout petit...
Petit mais costaud! j'ai des pomme de terre , des salades, des radis et des tomates....
vendredi 16 mai 2014
l'oeuf ou la poule ?
Réponse pour les œufs chez mon frère ....
jeudi 15 mai 2014
Dans le jardin de mon frère, les lilas sont fleuris...
Saurez-vous me dire de quel oiseau il s'agit ?
mardi 6 mai 2014
François Marie Arouet, dit Voltaire..
"Le doge a ses chagrins, les gondoliers ont les leurs" ....
c'est Candide qui le dit !
LLLe doge a ses chagrins, les gondoliers ont les leurs " ....Le doge a ses chagrins, les gondoliers ont les leurs.
Read more at http://www.dicocitations.com/reference_citation/16204/Candide_1759_.php#IVg1gwwb75o0IzRA.99
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Le doge a ses chagrins, les gondoliers ont les leurs.
Read more at http://www.dicocitations.com/reference_citation/16204/Candide_1759_.php#IVg1gwwb75o0IzRA.99
Read more at http://www.dicocitations.com/reference_citation/16204/Candide_1759_.php#IVg1gwwb75o0IzRA.99
dimanche 4 mai 2014
jeudi 1 mai 2014
Mon quotidien........
Brumes et pluies
Ô fins d'automne, hivers, printemps trempés de boue,
Endormeuses saisons ! je vous aime et vous loue
D'envelopper ainsi mon coeur et mon cerveau
D'un linceul vaporeux et d'un vague tombeau.
Dans cette grande plaine où l'autan froid se joue,
Où par les longues nuits la girouette s'enroue,
Mon âme mieux qu'au temps du tiède renouveau
Ouvrira largement ses ailes de corbeau.
Rien n'est plus doux au coeur plein de choses funèbres,
Et sur qui dès longtemps descendent les frimas,
Ô blafardes saisons, reines de nos climats,
Que l'aspect permanent de vos pâles ténèbres,
- Si ce n'est, par un soir sans lune, deux à deux,
D'endormir la douleur sur un lit hasardeux.
Endormeuses saisons ! je vous aime et vous loue
D'envelopper ainsi mon coeur et mon cerveau
D'un linceul vaporeux et d'un vague tombeau.
Dans cette grande plaine où l'autan froid se joue,Où par les longues nuits la girouette s'enroue,
Mon âme mieux qu'au temps du tiède renouveau
Ouvrira largement ses ailes de corbeau.
Rien n'est plus doux au coeur plein de choses funèbres,
Et sur qui dès longtemps descendent les frimas,
Ô blafardes saisons, reines de nos climats,
Que l'aspect permanent de vos pâles ténèbres,
- Si ce n'est, par un soir sans lune, deux à deux,
D'endormir la douleur sur un lit hasardeux.
Charles BAUDELAIRE (1821-1867)