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mardi 26 août 2014
vendredi 22 août 2014
Mot du jour ;Efficient...
(Camus, L’Homme révolté)
Que signifie une telle attitude en politique? Et d’abord est-elle
efficace? Il faut répondre sans hésiter qu’elle est seule à l’être
aujourd’hui. Il y a deux sortes d’efficacité, celle du typhon et celle
de la sève. L’absolutisme historique n’est pas efficace, il est
efficient; il a pris et conservé le pouvoir. Une fois muni du pouvoir,
il détruit la seule réalité créatrice.
Entre le typhon et la sève, je choisis la sève!
mercredi 20 août 2014
Avec Arthur...
de Léopold Burthe
Ophélie
Sur l'onde calme et noire où dorment les étoiles
La blanche Ophélia flotte comme un grand lys,
Flotte très lentement, couchée en ses longs voiles...
- On entend dans les bois lointains des hallalis....
il était vraiment "triste" Rimbaud pour écrire
de cette façon !....
là déjà, il n'a pas l'air gai...
Arthur Rimbaud,
premier communiant, à 11 ans.
Un coin de table, assis à gauche : Paul Verlaine et Arthur Rimbaud (Henri Fantin-Latour, 1872, musée d'Orsay).
mardi 19 août 2014
Avec Austremoine.....à Issoire !
Saint Austremoine est l'évangélisateur de l'Auvergne,
au début du IVe siècle. La légende lui attribue la
fondation du monastère d'Issoire, dont on ignore
l'origine réelle. Initialement enterré à Issoire,
saint Austremoine est un temps oublié avant de voir
son culte ravivé par l'évêque de Clermont Cautin. Au
VIIe siècle, ses reliques sont transférées à Volvic,
puis à Mozac vers 848. Des moines poitevins occupent
le monastère au Xe siècle, apportant le chef de saint
Austremoine. L'abbé Gislebertus entame la
construction d'une basilique vers 940.
A l'époque romane, les églises
étaient peintes.
Issoire témoigne de ce temps-là
(polychromie effectuée entre
1857 et 1859).
A l'époque romane, les églises
étaient peintes.
Issoire témoigne de ce temps-là
(polychromie effectuée entre
1857 et 1859).
...Il reste la crypte ....à voir demain....
mercredi 13 août 2014
Atelier paléontologie...
des fossiles (archéoptéryx)
dent de tyrex à gauche....
écriture cunéiforme...
des puzzles
bizarre cette écriture...
la nature toujours proche !
une mini fouille....
découverte d'une dent de requin
et même une pièce...
encore des jeux...
et dans un panier .....une dent de mammouth ! bizarre...
dent de tyrex à gauche....
écriture cunéiforme...
bizarre cette écriture...
la nature toujours proche !
une mini fouille....
découverte d'une dent de requin
et même une pièce...
encore des jeux...
et dans un panier .....une dent de mammouth ! bizarre...
et à la fin de la journée.....drôle de mine !
dimanche 10 août 2014
samedi 9 août 2014
Avec Ikéa....
La légende de ma ville ....
Place des Trois
Ayards à Montluçon, au n°10 est née la légende
du pavé d'or.
Or, nous propulse dans une étrange
aventure, se déroulant sur les rives du Cher, à hauteur
de la place des Trois-Ayards. Il faut savoir qu'à l'époque
où se déroule cette histoire, la place n' existait pas,
car ce lieu était sous les eaux de la rivière. L'eau était
partout,
le quartier que l 'on a nommé Les Marais, témoigne
de cette humidité.
Au cours des millénaires, l a rivière s'est assagie et son
cours est devenu plus précis. Pendant une longue période,
cet ndroit fut une pépinière de peupliers.L ' appellation "Place des 3 Ayards" fut donnée lors de son défrichage, quand ce lieu fut délimité par trois peupliés (des Ayards ou Oyards, en patois), un à chaque angle de cette place triangulaire. Ces peupliers ont disparu dans le dernier tiers du 19° siècle, remplacés par des platanes, qui de décennie en décennie se raréfient.
C'est dans ce contexte que se trouve le PAVÉ D'OR, curieuse pierre lisse et brillante, qui recèle l'âme d'une petite Sirène Atlante nonmée IKÉA. C'est en quelque sorte, sa sépulture.
L'histoire :
En début d'hiver, pour fuir la période glaciale, elle remontait un peu le courant et se rendait dans une grotte* spacieuse dont l'accès n'était possible que du plus profond de la rivière. Là, sur un lit de lichen et d'herbes aquatiques, elle attendait le retour des beaux jours, tout en rêvant à son ancien pays, Poséïdia, à son Palais, œuvre d'Attala, situé dans la baie de Parfa, où, avec ses compagnes elle avait connu tant de bonheur. Il ne lui en restait maintenant que le souvenir.
Un jour, en plein cœur de l'été, un groupe d'hommes se mit en quête de cette petite créature qui les charmait, certes, mais aussi les intriguait, du fait que, toujours dissimulée, ils n'avaient pu la voir.
Alors, ce fut une chasse sans merci. Durant une journée entière ces hommes devenus des monstres traquaient la petite nymphe qui essayait d'échapper à ses poursuivants. De guerre lasse, fous de rage, ne voulant s'avouer vaincus, ces chasseurs mirent le feu à l'îlot où elle s'était réfugiée. C'est ainsi que les flammes eurent raison de la petite Sirène. Un cri insoutenable ponctua son anéantissement.
En fin de journée, à la place de l'holocauste, on pouvait voir au soleil couchant ce pavé d'or irradiant qui allait braver le temps.
Pour certains, ce pavé n'est qu'une vulgaire pierre, par contre, pour d'autres, il est perçu tout autrement ; chacun y trouve peut-être ce qu ' il vient y chercher, mais son magnétisme est réel et quoi que l'on dise, il ne laisse personne indifférent.
Nom Ikéa de la petite sirène de Montluçon est associé à l'eau et la terre, deux éléments dans lesquels les sirène évoluent.
La
racine vient du grec ancien
IKMAD
: humidité
Le
suffixe ÉA ou EA ou TEA est associé à l'élément
terre
ITEA
: un saule (arbre de l'eau)
Les
racines gauloises
IKORANDA
: limite formée par l'eau
d'ou
le nom de la petite sirène créé à partir de
l'eau et de l'arbre de l'eau
IKMAD
-ITEA
IKÉA
(l'eau et la terre) qui périra par le feu... (les 3 éléments)
Cette
racine se retrouve dans d'autres langues comme le Basque, le Sumérien
et l'indo-européen.