Après avoir écrit la musique des Yeux d'Elsa (1956) pour André Claveau, il chante régulièrement à La Colombe, puis fait sa première grande scène à l'Alhambra en 1961 où il triomphe avec Ma môme, et Deux enfants au soleil. Rapidement, Jean Ferrat choisit d'interpréter des textes plus engagés, comme Nuit et Brouillard (1963), non diffusée par les radios, puis Potemkine (1965), interdite d'antenne.
Oui, il mérite tous les hommages, j'aime tellement les chansons à texte, et il les interprétait avec sa voix si pénétrante... Merci Gwendoline et bon dimanche à toi.
RépondreSupprimerpetite! j'écoutais tout le temps "POTEMKINE" et je pleurais à chaque fois!!!!
RépondreSupprimerOui, un poête s'en va!!!!!!!!!
RépondreSupprimerBonne soirée!
Comme je le disais à Enitram, un pan de mon enfance qui s'en va avec lui, de beaux souvenirs de ses chansons en fond sonore dans la maison...
RépondreSupprimer...j'aime la fidélité à ses idéaux, pas de compromis...c'est beau *_*
RépondreSupprimerC'est vrai Gwendoline, c'est beau et c'est rare !
RépondreSupprimerMerci de ton passage chez moi.