L’histoire du trompe-l’œil commence, dans la légende, avec la grappe de raisin peinte par Zeuxis de façon tellement véridique que les oiseaux venaient la picorer ; dans les musées, elle commence avec les fresques de Pompéi figurant des loggias ouvertes sur des jardins, des portes entrebâillées où se profilent de fines silhouettes, et surtout des éléments d’architecture (colonnes, corniches, frontons) représentés en saillie dans la salle et « sortant » du mur. Pere Borrell del Caso, huile sur toile, Madrid (1874) Peinture trompe-l’œil de Edward Collier |
J'aime beaucoup la version chantée du poème de Verlaine. Qui a donc une voix aussi douce?
RépondreSupprimerAnne
Je n'aime pas particulièrement les trompe l'oeil, mais je fais une exception pour une amie peintre et blogueuse, Rose ("les tableaux de Rose") qui en a réalisé quelques uns d'exceptionnels et qui méritent un détour par son blog.
RépondreSupprimerAnne; pour Verlaine , je pense que c'est Daphné qui chante...contente que ça vous plaise!
RépondreSupprimermerci pour les infos! Norma..
j'adore les trompe l'oeil,
RépondreSupprimeril y en a en ville,
de superbes....
de vrais tableaux vivant parfois,
belle journée a toi, BIZZ...