la veille du Carême était appelée "Carême Prenant".
C'est le dernier jour pour profiter une dernière
fois avant Carême et faire bombance,
car ensuite, pas d'alimentation carnée ni graisseuse
durant 40 jours. On marque le coup par un festin,
une fête colorée et bruyante.
Le Carnaval existe depuis plus de 2000 ans et a évolué au fil du temps. Déjà sous l'Antiquité on inversait les rangs sociaux : les maîtres devenaient esclaves et les esclaves devenaient maîtres, pendant 5 jours. Au Moyen-Age on dansait dans l'église, on chantait la messe à l'envers, les riches se déguisaient en pauvres et les pauvres se déguisaient en riches, les adultes se déguisaient en enfants et les enfants se déguisaient en adultes. Sous la Révolution française le Carnaval fut interdit; en 1796 on le remplaça par une fête révolutionnaire. A la Renaissance les Catholiques jeûnaient durant le Carême, et à la Belle Epoque on descendait dans les rues pour admirer les chars décorés et les gens déguisés. Les manifestations sont spécifiques à chaque civilisation, mais on conserve cette notion de bouleversement des rôles et des statuts sociaux.
La fête de Carnaval se déroule à différentes
dates selon l'endroit du globe et revêt des rituels différents !
Carnaval, fête non reconnue par l'Eglise
connaît des dates variables de début mais une date de fin
fixe qui correspond à la tombée de la nuit de mardi gras.
Sous l'empire Romain,
il existait déjà une grande fête de Carnaval nommée
" les Saturnales " à une toute autre période de l'année.
Cette période de fête populaire
se déroulait entre le 17 et le 25 décembre.
Le peuple marquait par des réjouissances le solstice d'hiver.
Ces fêtes avaient pour but de redonner courage et espoir au peuple effrayé par les sols gelés, l'absence de vie et l'obscurité.
On offrait des cadeaux : des porte-bonheur, du miel, des gâteaux,
de l'or étaient des cadeaux courants.
On décoraient les maisons avec du lierre,
des branches de houx et de gui et tout travail,
à part celui de la cuisinière et du banquier, était interdit.
Le carnaval de Venise battait son plein au XVIIIe siècle. Le masque consistait en un petit morceau de soie, la « bauta » qui encadrait le visage et descendait jusqu’aux épaules, qu’il couvrait de fines dentelles. Il était assorti d’un tricorne et d’un singulier masque blanc destiné à garantir l'anonymat de ceux qui le portaient ; l'avancée au-dessus de la mâchoire supérieure servait notamment à casser un peu la voix.
Les hommes ainsi masqués pouvaient donc se rendre dans des lieux interdits sans être reconnus. Les Vénitiens appelaient ce masque « larva » ou « volto », et en latin, larva signifie fantôme
Ce sont masques et bergamasques !
RépondreSupprimerBon week-end Gwendoline !
De la musique avant toute chose,
RépondreSupprimerEt pour cela préfère l’Impair
Plus vague et plus soluble dans l’air,
Sans rien en lui qui pèse ou qui pose.
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