 « Quitté de mes compagnes, je me reposais au bord d'un massif d'arbres : son obscurité, glacée de lumière, formait la pénombre où j'étais assis. » — Châteaubriand  |
« Quitté de mes compagnes, je me reposais au bord d'un massif d'arbres : son obscurité, glacée de lumière, formait la pénombre où j'étais assis. » — Châteaubriand |
j'aime,
RépondreSupprimerl'image autant que les mots,
et
l'inverse..........
belle journée a toi, bizz
Salut,
RépondreSupprimerje connais un site très intéressant où on peut consulter et [url=http://www.institut-numerique.org/universite/publier-son-memoire]publier mémoire[/url]
bonne journée!!bizzzz
RépondreSupprimerOUI cette image est très belle .
RépondreSupprimerEt pour ces mots je vais dire bravo
Bonne soirée..., Chateaubriand, qu' il soit gâteau ou écrivain, nous réconforte, c' est bien certain !
RépondreSupprimeren sauce ou à l'abricot...comme dit le brillant François René ;Notre cœur est un instrument incomplet, une lyre où il manque des cordes, et où nous sommes forcés de rendre les accents de la joie sur le ton consacré aux soupirs.
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