Sous l’occupation allemande, Brassens fut réquisitionné pour le service du travail obligatoire
(STO) dans le camp de Basdorf en Allemagne ; il bénéficia, au bout d’un an,
d’une permission en mars 1944. Il en profita pour ne pas y retourner
et afin d’échapper aux représailles, fut hébergé par Marcel et Jeanne Planche
dans une modeste maison sise au no 9 de l’impasse. Après la guerre,
il eut quelques ambitions littéraires puis se lança dans la chanson en 1952.
Le succès sera vite au rendez-vous.
Si bien qu’en 1955, il fit l’acquisition de la maison et de celle
qui lui est mitoyenne (au no 7), pour l’agrandir et y apporter le confort
qui y manquait jusqu’alors. Ainsi les Planche n’eurent plus de loyer à payer.
Malgré sa notoriété, il ne changea pas ses habitudes et resta fidèle à
ses hôtes jusqu’au remariage de Jeanne en mai 1966, après un an de veuvage.
Après le décès de celle-ci, en octobre 1968, Brassens l’offrit à son fidèle
secrétaire et ami, Pierre Onténiente (connu à Basdorf) pour qu’il vienne l’habiter.
Par un curieux hasard, son complice Pierre Nicolas, que Brassens connut
en 1952 chez Patachou et qui l’accompagna à la contrebassependant
plus de trente ans, naquit impasse Florimont.
Brassens, ma passion et Maxime, sa maison bleu, San Franscisco, aïe, mes vingt ans bon sang !
RépondreSupprimerBonjour, Gwendoline
RépondreSupprimerOui, merci Blaise.
et merci à toi pour diffuser ainsi Georges, notre ami à tous.
Et bon dimanche.
Je t'embrasse.
j'ai découvert assez tard Brassens!...avec passion !sa rhétorique, sa malice...
RépondreSupprimerJe viens te dire bonjour et je repasse bise
RépondreSupprimerbonjour France!! bizz
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