Le zèbre, cheval des ténèbres,
Lève le pied, ferme les yeux
Et fait résonner ses vertèbres
En hennissant d'un air joyeux.
Au clair soleil de Barbarie
Il sort alors de l'écurie
Et va brouter dans la prairie
Les herbes de sorcellerie.
Mais la prison, sur son pelage,
A laissé l'ombre du grillage.
J'aime toujours autant ce poème !
RépondreSupprimerBonne semaine !
Oh! Revoilà le pantin !!! Ciao !
Bonjour, Gwendoline.
RépondreSupprimerLes fées t'ont habitée quand tes mots se sont zébrés...
Merci beaucoup.
Mais sais-tu que j'ai du mal a lires les commentaires...
Enfin, j'y arrive.
Une caresse au chat qui me regarde...
Merci beaucoup.
Je t'embrasse.
Bon* Jour
RépondreSupprimerMais oui c'est très beau ce que tu viens d'écrire.
Je ne suis pas un zèbre mais je trouve ces animaux magnifiques
oui! bien sympa le zèbre!! et toujours sauvage...
RépondreSupprimerHerbert j'ai changé la couleur de police pour les com'ça devrait être mieux!!bizz
RépondreSupprimerOUI plus blanc que blanc
RépondreSupprimerBonne soirée
Merci beaucoup.
RépondreSupprimerLa zébrure me plait toujours.
Mais c'est une zébrure déployée, comme les ailes d'un papillon...
Je t'embrasse.