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jeudi 1 septembre 2011

Muse

???




Elle s’appelait Helena Dimitrievna Diakonova,

mais aux yeux du poète Paul Eluard,

son premier mari, elle était Gala. Gala était chérie

par de nombreux artistes parisiens

avant-gardistes de l’époque, notamment Max Ernst,

son ancien amant, mais c’est Salvador Dalí

qui a su conquérir son cœur. C’est Salvador Dalí

qui a créé son mythe, le mythe de Gala.

Au fil des décennies, grâce à ses portraits,

ses actes d’amour fou qui défrayèrent la chronique,

ses cadeaux extravagants, comme le Château

de Púbol qu’il lui offrit en 1970, Dalí a érigé

un monument à la gloire de Gala. Et à l’amour

qu'il lui portait. Le Daligramme fait partie intégrante

de cet héritage. Le motif est l’alliance de huit

symboles distincts .

Chaque symbole a une signification particulière

dans l’histoire d’amour qui unit Dalí à sa Gala.

Bien plus qu’un monogramme,

il s’agit d’une déclaration d’amour.

7 commentaires:

  1. Je ne connaissais pas ce "daligramme" !
    En fait c'est une très belle histoire d'amour !
    Très bonne journée !

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  2. Bonjour, Gwendoline.
    Quel beau billet...
    Merci beaucoup.
    Bisous

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  3. Superbe post je trouve
    Merci d'en parler c'est superbe
    BISOU

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  4. Bonjour, Gwendoline...

    Quelle beauté, cette photo...

    Tu agrandis l'amour...

    J'y vois du breton dans le rebus...Mais ce n'est pas suffisant.

    Il faudra dire...

    Bisous

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  5. du breton ? ...UN BATEAU, UNE ANCRE...bizz

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