Aux États-Unis, le "t-shirt" existe depuis le 19e siècle. Il était porté à l’origine par les ouvriers et les paysans, leurs vêtements. Son nom vient de "t", car il a la forme d’un T, et de "shirt" (chemise en américain). Il s’écrit aussi "tee-shirt" (la lettre T est alors transcrite en "tee"). Au début du 20e siècle, l’armée américaine fait du t-shirt un vêtement réglementaire, et son usage se répand rapidement dans la société, notamment grâce au sport. En 1943, les soldats américains débarquent en Europe et popularisent le t-shirt auprès des Européens. Dans les années 50, le t-shirt devient un symbole de la jeunesse grâce aux films et aux acteurs américains (en particulier Marlon Brando et James Dean). nommé Désir" (1951), réalisé par Elia Kazan je n'aime pas trop les tee shirt! n'en porte presque pas ! je préfère les "petits hauts" sympas! un peu comme ça ! ou comme ça ! |
les tee shirt , plus pour les garçons! |
lundi 31 octobre 2011
L’origine du t-shirt
dimanche 30 octobre 2011
Bel Ami...
Biographie
Il est né en mai 1948 à Oradea / Transylvanie en Roumanie. Dès son plus jeune âge, il s'est passionné pour le dessin et la peinture et a obtenu, à l'âge de 7 ans, son premier prix d'aquarelle dans le cadre d'un concours international organisé par la Chine. Il a ensuite étudié les arts plastiques à Bucarest jusqu'à l'obtention du diplôme supérieur de l'Académie des Beaux Arts.
Quelques années après, il a émigré en Israël pour finalement s'installer en France où il vit et travaille depuis 1981. Il participe à de nombreuses expositions nationales et internationales dans des galeries : Daniel Duchoze à Rouen, Pierre Gouverneur à Homécourt, Joëlle Maulny à Angers, Jas de la Rimade à Carcès, Alain Forget à Tourgeville-Deauville, Bagatelle à Aix-les-Bains, Capazza à Nançay, galeries Pierre Marie Vitoux, Smagghe et Allaire-Aigret à Paris, Galerie Fabien Bouchindhomme à Lille, Manès à Prague, de Garbisu à Bilbao, Espace Barbara Schröder à Erlangen, studio BogenHausen à Munich, Arkad à Seravezza ..., des musées : Petah-Tikva et Haïfa en Israël, Narodni à Prague, Brezno en Slovaquie, Château de Ratilly, Châteauroux ..., des salons : Figuration critique, Découvertes, Jeune Peinture, Salon de Mai, Comparaisons et Mac 2000 à Paris, Octobre à Brive, Marcel Pouvreau à Dammarie-les-Lys, Montrouge, Puls'Art au Mans, Chelles, Voeux d'Artistes à Paris, Marseille, Lyon et Toulouse, Europ'Art à Genève, F.A.C. de Bruxelles, Lineart à Gand, Karlsruhe avec la Galerie Martina Janzen... et des centres culturels : Athanor à Montluçon, C.R.A.C. du Château de Tremblay, Les Ulis, Saint-Cloud, Preston (U.K.), Levallois, Guyancourt, Courbevoie, Orangerie de Sucy-en-Brie, Brive-la-Gaillarde, Mers-les-Bains, Canet-en-Roussillon, Laon, Château de Draveil, Brie-Comte-Robert, Saint-Brisson, Mont-de-Marsan, Bar-sur-Seine, Ambassade de Roumanie à Paris, Château de Saint-Ouen, Chamalières, ...
Ses oeuvres sont présentes dans de multiples collections publiques et privées en France et à l'étranger : Fonds National d'Art Contemporain, Conseil Général des Hauts de Seine, Fonds d'Art Contemporain de Seine Saint Denis, de Montluçon, de Gennevilliers, collections Groupe Axa et Novotel, Bibliothèque Nationale, ...
Son travail a fait l'objet de nombreux ouvrages et de plusieurs films (dont un court métrage de l'Institut National de l'Audiovisuel). Il enseigne le dessin et la peinture aux enfants et aux adultes, dans et en dehors de son atelier. Pendant presque 30 ans, il a trouvé son inspiration dans l'être humain, corps et visage, qu'il a dessiné sur toutes sortes de supports au crayon, à la pointe d'argent, à la pierre noire, à la sanguine, à l'encre de chine, ... mais depuis 7 ans, ses recherches se sont orientées vers la peinture et l'abstraction.
Il s'est éteint le 15 décembre 2008 à Montreuil.
Ceux qui le rencontraient devenaient, tout naturellement, ses amis.
J'AI ASSISTE A PLUSIEURS DE SES ATELIERS ...Il m'a beaucoup parlé de la Roumanie!
samedi 29 octobre 2011
vendredi 28 octobre 2011
33mètres et 125 ans ...
La statue de la Liberté, en plus d'être un monument très important de la ville de New York, est devenue l'un des symboles des États-Unis et représente de manière plus générale la liberté et l'émancipation vis-à-vis de l'oppression. De son inauguration en 1886 au Jet Age, la statue a ainsi été la première vision des États-Unis pour des milliers d'immigrants, après une longue traversée de l'océan Atlantique.
Un cadeau pour les États-Unis
L'idée d'un présent en gage de l'amitié franco-américaine
et pour le centenaire de l'indépendance du pays est due
au politicien et historien Édouard de Laboulaye, auteur
de Paris en Amérique et des Contes Bleus.
Bartholdi aurait confié à ce dernier :
« Je lutterai pour la liberté, j'en appellerai aux peuples libres. Je tâcherai de glorifier la république là-bas, en attendant que je la retrouve un jour chez nous.Des sources diverses mettent en avant différents modèles
qui auraient servi à déterminer le visage de la statue.
Cependant, les historiens en sont réduits à des hypothèses
et aucune proposition n'est véritablement fiable et authentique.
Parmi les modèles proposés, on trouve Isabella Eugenie Boyer,
veuve du milliardaire du monde de la couture, Isaac Singer.
mère de Bartoldi
Selon certaines sources, Bartholdi se serait inspiré du visage de sa mère...
Isabella Eugenie Boyer (1841-1904) épouse de l'inventeur milliardaire Isaac Merritt Singer, qui aurait servi de modèle pour la statue de la Liberté.
« Une statue représentant la Liberté éclairant le monde, qui consiste, fondamentalement en un personnage féminin drapé,
avec un bras levé, portant une torche, alors que l'autre
tient une tablette gravée, et avec un diadème sur la tête»
Le brevet précise aussi que le visage de la statue possède
des « traits classiques mais graves et calmes »,
et note que le corps de la statue est légèrement penché
sur la gauche afin de reposer sur la jambe gauche,
de telle sorte que le monument tienne en équilibre.
Il est en outre précisé que la statue est interdite de reproduction
« de toute manière connue en art glyphique sous forme de
statue ou statuette, ou en haut-relief ou bas-relief, en métal,
pierre, terre cuite, plâtre de Paris ou autre composition plastique. »
, Bartholdi avait besoin d'un ingénieur pour se charger de la structure interne d'une telle statue en cuivre. C'est Gustave Eiffel qui fut engagé pour réaliser le pylône métallique massif qui soutient la statue, ainsi que le squelette secondaire interne qui permet à la « peau » en cuivre de la statue de tenir d'elle-même en position verticale.
Pourquoi dit-on ''faire la belle'' ?
L'expression ''faire la belle'' signifie que lors d'une partie de pétanque, on joue une partie supplémentaire pour désigner le vainqueur car les deux adversaires sont à égalité et il faut les départager. Son origine remonte au Moyen âge lors des joutes entre chevaliers. Les chevaliers portaient les couleurs des dames occupant une place importante dans leur vie. Le gagnant de la première partie gagnait la manche de la robe de la dame. Lorsque l'un d'eux gagnait le tournoi, la ''belle'' lui donnait un baiser. |
mercredi 26 octobre 2011
Les mots bleus...
lundi 24 octobre 2011
et voilà.....
samedi 22 octobre 2011
pour Odin
Les Valkyries, dans la mythologie nordique, sont des vierges guerrières, des divinités mineures dites disesOdin, maître des dieux. Les Valkyries, revêtues d’une armure, volaient, dirigeaient les batailles, distribuaient la mort parmi les guerriers et emmenaient l’âme des héros au Walhalla. 90 Ans Créée en 1921, cette marque de fromage de type tartinette est connue pour sa boite ronde illustrée qui représente une vache hilare portant des boucles d’oreille constituées de boites de vache qui rit mises en abyme. Léon Bel a 36 ans lorsqu’il est affecté au Train, plus précisément au régiment de « Ravitaillement en Viande Fraiche » (RVF). La guerre traine en longueur et pour remonter le moral des troupes, l’État Major décide de doter chaque unité d’un emblème spécifique qui sera apposé sur tous les véhicules, en particulier sur les camions. Pour obtenir le meilleur résultat possible, un concours est lancé. Concours auquel participe Benjamin Rabier. Le dessin retenu pour orner les camions de « Ravitaillement en Viande Fraiche » est finalement celui d’une vache hilare. Cette œuvre de Benjamin Rabier va créer un lien indéfectible entre le célèbre illustrateur vendéen et Léon Bel, le modeste fromager jurassien, appelé à devenir quelques années plus tard l’un des plus grands industriels de son temps. Il serait cependant injuste de ne pas rendre hommage à l’inspiré anonyme qui eut l’idée amusante et géniale de « baptiser » le dessin de Rabier la « Wachkyrie », surnom évidemment destiné à moquer les fameuses Valkyries, ces vierges guerrières de la mythologie nordique, rendues célèbres par Richard Wagner en 1870 et particulièrement revenues à la mode en ces temps de guerre. |
vendredi 21 octobre 2011
Courrier sud
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