Paul Verlaine
Dans l’interminable …
Dans l’interminable
Ennui de la plaine,
La neige incertaine
Luit comme du sable.
Le ciel est de cuivre
Sans lueur aucune,
On croirait voir vivre
Et mourir la lune.
Comme des nuées
Flottent gris les chênes
Parmi les buées.
Le ciel est de cuivre
Sans lueur aucune.
On croirait voir vivre
Et mourir la lune.
Corneille poussive
Et vous, les loups maigres,
Par ces bises aigres
Quoi donc vous arrive ?
Dans l’interminable
Ennui de la plaine
La neige incertaine
Luit comme du sable.
Bonsoir,
RépondreSupprimerj'aime bien
excellente soirée
Bien beau poème et bien jolie carte en bannière du blog !
RépondreSupprimerTrès bonnes fêtes de fin d'année, Gwendoline !
Norma
Bonjour Gwendoline
RépondreSupprimerCela fait longtemps que je te croise sur divers blogs et notamment chez Marie.. alors en cette période festive, je viens découvrir ton blog qui me semble plein de douceur ,et tendresse et te souhaiter de belles fêtes de fin d'année
la musique choisie nous ramène aux Noëls d’antan, c'est très agréable ..
à bientôt
merci Tunisian! belle soirée !
RépondreSupprimerBonnes fêtes Norma!
Merci Nanou! bienvenue sur mon blog!