Elève de Paul Delaroche, Jean-Léon Gérôme
est l’enfant chéri du mouvement orientaliste et “lion” des cercles
artistiques internationaux. Son premier tableau, Le Combat de Coqs,
exposé au Salon de 1847, illustre déjà son souci du détail authentique
qu’il alimente par de fréquents voyages en Egypte et à Constantinople.
Son mariage avec la fille d’ Adolphe Goupil facilite la vente de ses
tableaux que Goupil conseille aux collectionneurs d’oeuvres d’ artistes
académiques contemporains et lui assure une grande renommée puisque les
photographies et photogravures de ses oeuvres sont diffusées dans le
monde entier. Professeur aux Beaux-Arts dès 1864, Jean-Léon Gérôme voit sa popularité décliner à la fin de sa vie, en partie à cause de son opposition aux Impressionnistes. |
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L'histoire de l'art reste une discipline passionnante. Pourtant, dans ma jeunesse aux Beaux Arts de Rennes, je trouvais cela très rébarbatif.
RépondreSupprimerIl m'aura fallu quelques années pour m'y intéresser vraiment.
Merci pour ce billet.
Belle soirée,Gwendoline
Roger
j'ai eu la même "expérience" avec l'histoire qui me prenait la tête (avec toutes ces dates à retenir ' je me demandais bien pourquoi!) et aujourd'hui, dès que je vois un bouquin d'histoire et surtout d'histoire de l'art, il fut que je le feuillette !bonne soirée!
SupprimerBonjour, Gwendoline.
RépondreSupprimerGoupil était un fin renard et toi, une fine découvreuse sortie fort heureusement de la période préhistorique...qui m'a bien amusé.
Et, en plus , ta bannière annonce le printemps.
Tout est bon signe.
Merci beaucoup.
Bisous
le printemps ? J'ai eu l'onglet ce matin! oui Goupil a tiré bien des ficelles! bizz
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