Dans Venise la rouge,
Pas un bateau qui bouge,
Pas un pêcheur dans l'eau,
Pas un falot.
Seul, assis à la grève,
Le grand lion soulève,
Sur l'horizon serein,
Son pied d'airain.
Autour de lui, par groupes,
Navires et chaloupes,
Pareils à des hérons
Couchés en ronds,
C'est avec plaisir que je viens de lire tous les posts sur Venise. Je suis plongée dedans car j'écris un nouveau roman qui se déroulera en partie dans la Sérénissime à l'époque baroque de Vivaldi... Et puis, comme j'ai des renseignements à vérifier sur place, j'y serai bientôt pour le carnaval, je me réjouis! J'ai pris ici un acompte, la suite dans les carnets de voyage.
RépondreSupprimerDe retour d'Ardèche, un petit bonjour en attendant de défaire mes valises et de venir rattrapper mon retard sur ce blog. A bientôt!
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