
On traversait la grand-place en pente, bornée d’une part par l’église érigée sur le talus,
 de l’autre par l’étang Notre-Dame qui, ce matin-là,
 était d’un gris vénéneux.
 L’auberge de Marie Tatin était à droite, la première maison du village. 
À gauche, c’était une allée bordée de chênes, et, tout au fond,
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