A quel objet, mon amour, comparerai-je tes yeux ? auprès d'eux le cristal est trouble. Oh ! comme elles me paraissent mûres pour le baiser, ces friandes cerises de tes lèvres, et comme elles tentent ma bouche ! Lorsque tu élèves ta main, la blanche neige glacée des sommets du Taurus que caressent les vents de l'Orient paraît noire comme le corbeau. Oh ! laisse moi baiser cette princesse de blancheur, ce sceau de béatitude !.
il sait parler aux femmes! ce William!
2 commentaires:
Je viens te dire bonjour et tu sais je ne trouve plus de temps pour les blogs et pour y répondre
Mais petit à petit
je t'embrasse et à plus tard
merci de ton passage! tu passes ton temps à bronzer ?Devant les cailloux! bizz...il est beau ton mur !
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