Le zèbre, cheval des ténèbres,
Lève le pied, ferme les yeux
Et fait résonner ses vertèbres
En hennissant d'un air joyeux.
Au clair soleil de Barbarie
Il sort alors de l'écurie
Et va brouter dans la prairie
Les herbes de sorcellerie.
Mais la prison, sur son pelage,
A laissé l'ombre du grillage.
7 commentaires:
J'aime toujours autant ce poème !
Bonne semaine !
Oh! Revoilà le pantin !!! Ciao !
Bonjour, Gwendoline.
Les fées t'ont habitée quand tes mots se sont zébrés...
Merci beaucoup.
Mais sais-tu que j'ai du mal a lires les commentaires...
Enfin, j'y arrive.
Une caresse au chat qui me regarde...
Merci beaucoup.
Je t'embrasse.
Bon* Jour
Mais oui c'est très beau ce que tu viens d'écrire.
Je ne suis pas un zèbre mais je trouve ces animaux magnifiques
oui! bien sympa le zèbre!! et toujours sauvage...
Herbert j'ai changé la couleur de police pour les com'ça devrait être mieux!!bizz
OUI plus blanc que blanc
Bonne soirée
Merci beaucoup.
La zébrure me plait toujours.
Mais c'est une zébrure déployée, comme les ailes d'un papillon...
Je t'embrasse.
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