Il a un petit air de Picasso! je trouve...
Roumain de naissance, Tristan Tzara participe
dès ses seize ans à des revues dans son pays
d’origine, avant de poursuivre ses études à Zurich.
C’est en 1916, à l’âge de vingt ans, qu’il se rend
pour la première fois au Cabaret Voltaire,
où il récite quelques-uns de ses poèmes.
Les réactions sont, comme l’avait prévu le poète,
totalement incontrôlées, et dans la dithyrambe
et dans la haine, et le mouvement
« anti-mouvement » Dada ne tarde pas à naître.
Le but de Tzara et de ses compagnons
est de choquer le public, de le faire réagir,
mais avant tout de briser l’ensemble des
anciennes conceptions esthétiques et artistiques.
4 commentaires:
Bonjour, Gwendoline.
Si j'ai droit au chapitre ( qui est de toute beauté ), je trouve, moi, qu'il a un petit air de Sartre...
Merci beaucoup.
Bisous.
oui aussi un peu à cause des lunettes! mais la mèche rebelle c'est plus Picasso!...le chapitre de Noirlac est magnifique ( c'est pas très loin de chez moi)! et le plus beau ce sont les tilleuls (une allée de tilleuls tricentenaires bien élagués...)bizzz
Magnifique peinture, poètes qui détonnent !
Boum !
De quoi faire réagir les plus silencieux!
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